Perçue par une oreille humaine, la qualité d’un environnement sonore est subjective tant la sensibilité au bruit et la capacité auditive est propre à l’individu. Chaque problématique est à appréhender selon son contexte. Il peut s’agir d’une volonté de :

• prévenir les troubles auditifs ; on parle alors d’exposition au bruit, faisant intervenir des notions de niveaux sonores et de durée d’exposition propres à des milieux très bruyants, comme dans l’industrie ou en discothèque ;
• préserver la santé et la tranquillité des personnes ; on parle de gêne, de nuisance pouvant porter atteinte à l’intégrité des personnes en générant stress ou manque de sommeil. Dans l’environnement, les origines peuvent être nombreuses : industrie ICPE, activité professionnelle ou de loisirs, établissement diffusant de la musique amplifiée…  autant de catégories ayant chacune un cadre réglementaire spécifique dans lequel apparaîtront les notions de bruit ambiant et d’émergence sonore.
  La qualité d’isolation acoustique des bâtiments à usage d’habitation devient une priorité pour préserver du bruit des infrastructures de transport et du voisinage ;
• améliorer le confort ; pour optimiser l’intelligibilité, l’écho et le bruit de fond d’un espace selon sa fonction. Il peut s’agir notamment d’espaces de travail ou de lieux destinés à recevoir du public.

Dans la plupart des cas, il existe des documents de référence permettant d’uniformiser les diagnostics et de gagner en objectivité.

Colibruit vous apporte un accompagnement personnalisé pour définir le cadre réglementaire ou les pratiques usuelles applicables dans votre situation, réaliser un contrôle ou diagnostic par des mesures (sonomètres de classe 1 homologués LNE), orienter vers les solutions correctives adaptées le cas échéant.